Pour préserver la beauté et surtout la jeunesse, les gens n’hésitent pas à user des moyens et des techniques d’esthétique mis en avant par les spécialistes en la matière. Parmi les solutions qui sont proposées, la chirurgie esthétique est de plus en plus banalisée. Elle consiste à procéder à une intervention chirurgicale dans le but d’améliorer une partie du corps. L’opération peut être onéreuse selon sa spécificité. L’intervention s’effectue sous anesthésie, cette dernière peut être locale ou générale. Justement à ce propos, les poches sous les yeux (gonflement des paupières inférieures, juste sous l’œil) sont inesthétiques, font vieillir le visage et donnent un air las à la personne. Leur élimination totale peut requérir l’intervention d’un chirurgien plastique.

Comment éliminer ces poches ?

La mine du visage en dit beaucoup sur l’état d’une personne et peut se transformer sous l’influence de certains faits, comme la fatigue. Ces excroissances que sont les poches fatiguent et font vieillir le regard. Personne n’est épargné, hommes et femmes peuvent avoir ce problème. Le recours au maquillage peut masquer ces imperfections, notamment lorsqu’elles ne sont pas trop volumineuses, mais pas forcément car le résultat n’est pas permanent. Certains cosmétiques peuvent être utilisés également, tout comme certains remèdes. Mais dans l’idéal, la chirurgie est la meilleure option pour se débarrasser de ces poches, notamment chez les personnes qui commencent à prendre de l’âge. Cliquez ici pour obtenir des détails sur ces poches et les interventions chirurgicales permettant de les éliminer.

Les types d’intervention chirurgicale pour se débarrasser de ces poches disgracieuses ?

La chirurgie est le dernier recours, lorsque les autres soins et traitements n’ont pas donné de bons résultats. Pour ce genre d’intervention, le chirurgien doit avant tout, identifier de quel type de poche sous les yeux s’agit-il. Effectivement, cette forme de hernie peut être d’origine graisseuse, tout comme il peut être question de poche malaire. La prise en charge dépend du type de poche sous les yeux.

La poche peut être formée par un amas de graisse lorsque la couche protectrice des orbites s’extériorise, c'est-à-dire qu’elle bouge et s’installe sous les yeux. Ce genre de poche a tendance à s’installer et ne s’estompe pas. La blépharoplastie est la chirurgie qui peut être envisagée pour enlever cette hernie graisseuse. L’intervention s’effectue par voie transconjonctivale qui est une incision faite suivant la ligne des cils, mais du côté intérieur de la paupière, c'est-à-dire dans la partie rouge en contact avec l’œil. Une fois l’incision faite, l’amas graisseux sera retiré ou réparti au niveau de la surface dédiée à cet effet. L’intervention ne laisse aucune cicatrice et les poches disparaissent. En cas de présence de cerne persistant, cette intervention peut s’accompagner d’un lipofilling. La blépharoplastie est indiquée uniquement aux personnes en très bonne santé. La cicatrisation prend généralement deux semaines, mais peut varier selon la personne.

L’autre type est le poche malaire qui est due à un œdème lymphatique ou à un affaissement du muscle se trouvant au niveau de l’orbite. Il est plutôt question de ptôse localisée au niveau des pommettes, plus précisément en dessous des cernes. L’intervention visant à réparer la poche malaire consiste surtout à tendre le muscle orbiculaire afin de le remettre en place. Le chirurgien plastique utilise la technique de lifting sous-palpébral, l’incision est effectuée le long du bord des cils afin de minimiser les cicatrices.

Des poches causées par l’excès de peau existent également. Ces dernières sont composées de peau qui s’est relâchée. Elles surgissent surtout chez les seniors puisqu’en vieillissant, la peau perd progressivement son élasticité, causant ainsi la formation de ces poches. La prise en charge de ces poches doit être accompagnée d’un traitement des cernes pour un bon résultat.

Autres moyens pour faire disparaître les poches

La chirurgie est la meilleure solution pour faire disparaître ces poches. Néanmoins, les personnes qui ne sont pas encore prêtes à procéder à l’intervention peuvent user de certaines astuces.

  • Le concombre est riche en eau et en antioxydant. Une rondelle de concombre, d’une épaisseur de 1 cm, peut être posée sur chaque œil fermé. Il faut veiller à bien couvrir la partie où il y a la poche. En se reposant et en le laissant agir pendant environ 20 à 30 minutes, la personne aura retrouvé un regard frais et bien vivant puisque le concombre hydrate également.
  • Des glaçons enveloppés dans des serviettes fines et douces peuvent être posés sur les poches. Le froid tonifie la peau et réduit l’enflure.
  • Deux poches de thé infusées, puis refroidies, peuvent être appliquées dessus pour apaiser le gonflement des poches.

D’autres astuces peuvent exister pour les estomper, mais la solution la plus pérenne reste la chirurgie plastique.

Comment prévenir la formation des poches ?

Les poches n’apparaissent pas chez certaines personnes, alors qu’elles peuvent être omniprésentes chez d’autres. Certains facteurs pallient leur formation, raison pour laquelle il convient de les connaître.

Le corps a besoin d’être hydraté pour rester bien fonctionnel, comme pour élimer les toxines. Chaque personne doit boire, au moins, 1,5 litre d’eau en 24 heures pour permettre à son organisme de se décharger de ces toxines et d’apporter aux cellules l’eau dont elles ont besoin. Cette consommation de boissons évite la rétention d’eau qui peut être à l’origine de la formation de la poche sous les yeux.

L’organisme a besoin de 6 à 8 heures de sommeil par jour, d’autant plus que ces poches apparaissent souvent le matin, au réveil. Il faut éviter, autant que possible, de se coucher tard. Une cure peut compenser le manque de sommeil.

Une alimentation saine et équilibrée est requise. Dans les meilleurs des cas, il est préférable de privilégier la consommation régulière et en quantité suffisante de fruits diurétiques comme les raisins, les kiwis, les oranges et les ananas. En revanche, il est recommandé de réduire le sel dans l’alimentation.